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Licenciement de dame Tsemo de la Commission des Droits de l’Homme du Cameroun : James Mouangue Kobila sous le feu des bombardiers - l'ecojudiciaire
Licenciement de dame Tsemo de la Commission des Droits de l’Homme du Cameroun : James Mouangue Kobila sous le feu des bombardiers

Licenciement de dame Tsemo de la Commission des Droits de l’Homme du Cameroun : James Mouangue Kobila sous le feu des bombardiers

Sur la base des allégations grotesques, grossières et totalement fausses, alors même qu’aucune enquête n’a été ouverte et que la justice ne s’est pas encore prononcée dans l’affaire qui oppose l’ex-chef service de la traduction et de l’interprétation au Président de la commission des droits de l’homme du Cameroun, une machination est ourdie pour fragiliser l’environnement des droits de l’homme du Cameroun qui connaît pourtant une amélioration remarquable depuis l’entrée en fonction des nouveaux membres.

Par Destin André Mballa 

Sur la base des allégations sans fondement, ni preuves, l’organisation non gouvernementale de défense des Droits de l’Homme Mandela Center International vient de suspendre sa collaboration avec la Commission des Droits de l’Homme du Cameroun (CDHC). Elle va plus loin en appelant à la destitution ou à la démission du président de cette institution, Pr James Mouangue Kobila.  

Cette rupture de collaboration survient au lendemain de la décision portant licenciement sans préavis ni indemnité de dame Nkouete Messah Judith Espérance Epse Kouobou Tsémo, chef du service de la traduction et de l’interprétation à la Commission des droits de l’homme du Cameroun, par ailleurs ex-chef du cabinet du président de la CDHC.

Jusqu’ici, aucune enquête n’a encore lieu et la justice n’a pas encore ouvert les débats dans l’affaire de mœurs qui oppose Judith Espérance Tsémo à James Mouangue Kobila pour entendre les deux parties, et faire jaillir la vérité  judiciaire, l’Ong Mandela Center International qui dans sa récente sortie traite les médias ayant pignon sur rue qui suivent cette actualité de « presse de caniveaux », a précocement trouvé un coupable qu’il condamne : James Mouangue Kobila, qui depuis quelques mois est sous le feu nourri des bombardiers qui s’activent à travers les réseaux sociaux, les médias et d’autres officines pour le détruire et entacher sérieusement l’institution qu’il incarne.

Cependant, l’Ong Mandela Center International qui est attachée aux Droits humains semble ignorer ici le principe de présomption d’innocence. Bien plus, elle qui a eu une longue collaboration avec cette institution semble également ignorer l’article 17 de la loi portant création, organisation et fonctionnement de la CDHC qui précise les conditions dans lesquelles un commissaire ou le président peut être déchargé de ses fonctions.

Pour rappel donc, la CDHC dans son article 17-(1) précise que « la qualité de commissaire est retirée en cas de : a-survenance d’une cause d’inéligibilité, postérieurement à la nomination d’un membre et constatée par les 2/3 des commissaires ; b- indisponibilité d’un commissaire dûment constatée par la commission ; c-absence prolongée  ou manquement grave  au regard des dispositions du règlement intérieur, dûment constatés par la commission; d-condamnation définitive à une peine privative de liberté, dûment constaté par la commission. (2) les modalités de retrait de la qualité de membre sont précisées dans le règlement intérieur de la commission. (3) ; Le retrait est constaté par décret du président de la République ».

Face à cette situation, le Mouvement Internationale pour la défense des Droits et libertés fondamentaux (MIDDFL) dont le but est de promouvoir, sensibiliser, défendre les Droits de l’Homme et les libertés fondamentales ainsi que Wissûmatê, qui a pour objet l’harmonisation des langues et la promotion des cultures Uki pensent qu’ au-delà de ressortir d’une probable vengeance il s’agit d’une machination ourdie pour fragiliser l’environnement des droits de l’homme du Cameroun qui connaît une amélioration remarquable depuis l’entrée en fonction des nouveaux membres.

En effet, les deux organisations assurent détenir des éléments qui prouvent qu’il a existé une proximité professionnelle entre le président de la CDHC et sa collaboratrice créée par la spécificité de leur collaboration. De ladite proximité sont nées selon ces organisations des attentions particulières et réciproque de l’un vis-à-vis de l’autre qui ont conduit l’employée de la CDHC à penser qu’elle jouissait désormais des droits spéciaux au sein de ladite structure et pouvait venir comme et quand elle voulait au travail et rentrer pareillement et faire son travail à sa guise.

Gardant son professionnalisme malgré la proximité installée et mutuellement entretenue, le président de la CDHC, a tôt fait de ramener sa collaboratrice aux meilleurs sentiments professionnels afin que des dérives professionnelles poussées de sa part ne nuisent au fonctionnement de la commission.

Malheureusement, ses initiatives ne prospèrent pas, ce qui l’obligera à se séparer d’elle et la ramener à son poste précédent à savoir de chef de cabinet du président à chef du service de la Traduction et de l’interprétation. Cette dernière à en croire ces organisations n’appréciant pas cette déchéance va tout faire de transformer les attentions de son supérieur nées de leur proximité professionnelles en harcèlement sexuel et autres. Des accusations qui selon Middfl et Wissûmatê forts de ce qui précède sont non fondées.

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