« Dans l’affaire Martinez Zogo, ils vous parlent trop du désert de la mort en ce qui concerne Sa Majesté Jean-Pierre Amougou Belinga et son impossibilité à obtenir la liberté sous caution »
Par Polycarpe Xavier Atangana Eteme, pour une société fraternelle.
Je reformulerai autant de fois que possible. Car le peuple est désinformé. Dans l’affaire Martinez Zogo, ils vous parlent trop du désert de la mort en ce qui concerne Sa Majesté Jean-Pierre Amougou Belinga et son impossibilité à obtenir la liberté sous caution. Qu’est-ce qui est impossible ? Il est très important de sortir de ce vide mental ; très important de penser vraiment à autre chose qu’à la manipulation, l’acharnement, ses conséquences personnelles et collectives. Il faut édifier l’opinion publique nationale et Internationale.
Il faut penser que c’est possible à 98%, c’est-à-dire croire fortement à la justice ( le régime des libertés.)
Certains s’aventurent à lire d’une voix tremblotante le régime des libertés sans même pouvoir l’expliquer. Ils lisent deux ou trois articles de nos instruments juridiques qui les arrangent, et c’est bon. Savent-ils qu’il y a la loi et l’esprit de la loi ? Peuvent-ils comprendre la loi du point de vue scientifique et institutionnel? Non. J’en doute fort.
Je me pose encore une autre question. Okay! Supposons. Donc c’est parce que le Juge d’Instruction Sikati II kwamo Aimé Florent est toujours à Bamenda que la courroie de transmission des informations entre le Tribunal Militaire de Yaoundé et la Cour d’Appel est défectueuse ? Impossible ! Tout va bien.
Revenons-en au motif de « Complicité de torture par aide » : Selon ma propre définition, c’est participer à infliger à la victime une souffrance intense et très particulière, dont une atteinte à la dignité humaine. Bref, c’est une négation de la vie. Il peut y aussi avoir la torture psychologique. Bar, là ! Ça n’existe pas en droit pénal.
Mais avec la demande des actes par le consortium des Maîtres Conseil de SM Jean-Pierre Amougou Belinga la vérité va parler.
Premièrement, ces actes risquent obliger un réquisitoire de réouverture pour les nouvelles charges. C’est-à-dire, disqualifier le motif actuel.
Deuxièmement, cela permettra de rentrer dans la hiérarchisation des peines.
Pour les acteurs des Réseaux Sociaux, C’est trop suicidaire lorsqu’on fait des analyses partielles et partielles sans la bonne maîtrise des instruments juridiques. C’est très subjectif. C’est-à-dire ça laisse place à des imaginations. Ce sont les évidences de leur culpabilité.